D’abord, les idéogrammes acquis (hiéroglyphes), ceux inventés par juxtaposition de deux ou plusieurs (comme dans la grammaire égyptienne), et ceux polythanasés aboutissant aux idéogrammes infinitésimaux.
Ensuite, l’alphabet-fruits.
Enfin leur rencontre.
Gérard-Philippe Broutin, d’un trait d’une grande finesse ou bien dans une manière “rustique”, volontairement empreinte d’une certaine grossièreté, à l’encre de chine noire ou brune, et parfois le léger gai d’un vermillon ou d’un vert, métécise des textes d’Isidore Isou - pour l’instant la seule anecdote valable - ou cisèle pour le seul plaisir esthétique des plages, géologiques ou non, qui découvrent, lorsque sa main se retire, comme des fruits de mer hypergraphiques mêlés aux idéogrammes de l’Egypte.
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